Les mesures de sécurité mise en place au sud de Moscou ont été levées samedi 24 juin après qu’Evguéni Prigojine, le chef du groupe Wagner a ordonné à ses hommes qui marchaient vers la capitale russe de battre en retraite. “Des garanties ont été données à Prigojine” pour qu’il fasse demi-tour, estime sur franceinfo François Chauvancy, consultant en géopolitique, docteur en sciences de l’information et de la communication et enseignant à l’Institut catholique de Paris.
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Selon lui, le leader de la milice a fait “sa campagne de communication” en mettant une “pression médiatique” sur Vladimir Poutine.“Comme tout mercenaire, quand il n’est plus payé et il allait être en cessation de paiement au 1er juillet, il réclame d’être payé et déserte s’il n’est pas payé”, explique François Chauvançy. En effet, d’ici le 1er juillet, le groupe Wagner devait signer un “contrat” avec le ministère de la défense pour régulariser sa situation.
“On a dû faire des promesses financières importantes à Prigojine en disant qu’il sera bien employé, peut-être mieux considéré”
François Chauvancy,
à franceinfo
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