40 millions d’électeurs congolais ont été appelés à voter dimanche 30 décembre. Dans les bureaux, un écran tactile pour imprimer son bulletin, mais très vite des premiers couacs. À cela s’ajoute la pluie qui retarde l’ouverture de certains bureaux. Une organisation mal ficelée et la colère qui s’empare des habitants. Ce pays, grand comme quatre fois la France, était jusqu’à présent dirigé par Joseph Kabila, 18 années de pouvoir. Il a renoncé à briguer un nouveau mandat. C’est son ancien ministre de l’Intérieur, Emmanuel Ramazani, qu’il a désigné comme successeur, bien confiant sur ses chances de victoire.”C’est la fin de la dictature”Mais le favori des sondages est son principal opposant, qui veut croire au changement. “C’est un grand jour pour moi, c’est un grand jour pour le Congo, parce que c’est la fin de la dictature. Nous allons faire de ce pays quelque chose que vous n’allez pas reconnaître”, assure au micro de France 3 Martin Fayulu.
Mais déjà dans certaines provinces, pour des raisons sécuritaires, des milliers d’électeurs ont été empêchés de voter. Comme un symbole, ils ont organisé leur propre scrutin.Le JT

  • Grand Soir 3 du lundi 31 décembre 2018 L’intégrale

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